Jean-François Copé estime qu'aucun candidat n'a de sympathie pour Bachar-Al-Assad, pourtant Jean-Frédéric Poisson l'a rencontré à Damas et l'a défendu lors du débat précédent.
Déclaration
Lors du troisième débat de la droite et du centre, Jean-François Copé a été questionné sur la situation au Proche et Moyen-Orient. Pensant dire une évidence, il a alors affirmé que personne sur le plateau n’avait la moindre sympathie pour Bachar-Al-Assad:
« Personne ici n’a la moindre sympathie pour Bachar-Al-Assad. »
Erreur
L’affirmation de Jean-François Copé n’est pourtant pas tant que ça une évidence. En effet, Jean-Frédéric Poisson a rencontré Bachar-Al-Assad en 2015 et a estimé en octobre 2016 que la France avait « autre chose à faire que de déboulonner le président syrien. »
Jean-François Copé a la mémoire courte puisque Jean-Frédéric Poisson avait d’ailleurs réaffirmé lors du deuxième débat de la droite et du centre son soutien (relatif) à Bachar-Al-Assad.
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